Bandiagara et le pays Dogon
Bandiagara
Vidéo envoyée par mipier
Visite à l'école de Bandiagara et au pays Dogon puis retour à Bamako
Bandiagara
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Visite à l'école de Bandiagara et au pays Dogon puis retour à Bamako
Traversée du désert
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A travers le Sahara Occidental puis la Mauritanie
Aventure 2007 maroc
Vidéo envoyée par mipier
La vidéo d'Aventure Nomade 2007 : le départ et le Maroc
Nous voici de retour à Bamako.
Quelques images de la visite de Koumi :
De Bobo, devinez ce qu'on vend au marché, et à quelle vitesse passe le train.
Dimanche 18 novembre
Nous avons repris la route après un dernier bisou à Patrick, Cali et Edmond qui ont fait bien des efforts pour charger le 4x4.
Toujours long au passage de la frontière Burkina Faso-Mali.
En route, visite des chutes de Falako
Le soir, arrivée à Sikasso : visite du mamelon et du tata (a vous de chercher ce que ça signifie !). Nous on sait !
Lundi 18 novembre :
on reprend la route : 100 km à 20 à l'h. C'est du goudron, mais complètement troué et déformé, si bien qu'on roulait souvent sur la piste latérale (Avec la poussière rouge qui va avec !). Le soir on arrive à Bougouni, on s'adresse à l'usine de coton et on va loger chez l'habitant. La nuit sur la terrasse fut très reposante. Betty a suffisamment de courage pour piler le riz :
Mardi 20 novembre
arrivée à Bamako. C'est une ville infernale au niveau de la circulation et de la pollution. Repas au maquis et retour en transport en commun :
On s'installe en chambre d'hôtes chez Béa. Endroit très reposant dans cette ville de fou. Visitez son site sans tarder et vous verrez qu'on est au paradis ! Voyez aussi ses projets.
http://lavenisemalienne.free.fr/
L'annexe de Bamako
Mercredi 21 novembre,
Petit tour au marché pour quelques derniers achats, visite du musée, balade au parc botanique, grimpette à l'abri sous roche du point G avec ses gravures rupestre. Bref tourisme.
Aujourd'hui, on essaie de boucler les valises.
Rendez-vous en France ....
Mercredi
Vendredi 16 novembre
Patrick et Cali nous rejoignent à Bobo. Nous faisons connaissance d'Edmond, un ami burkinabé. Nous finissons les restes de la caisse en pique nique. La journée se passe calmement. repos, repos, repos, surtout pour ceux qui sont un peu patraques !
Samedi 17 novembre
Nous décidons de visiter un village Bobo. Droit d'entrée et visite guidée. Mais ça nous met mal à l'aise. Pas de contact avec les habitants sauf pour nous demander 100 F pour boire le dolo ! On a l'impression désagréable de visiter un Zoo.
C'est bientôt l'heure de la sieste, on vit à l'africaine.
Quelques photos du départ des troupes vers Bamako.
Patrick et cali sont partis le lendemain vers le Burkina Faso en prenant la piste Bandiagara, Bankass… pour arriver à Ouagadougou.
Betty, Pier, Victor et Marie-Pierre ont rencontré à la mairie de Mopti des femmes qui se sont organisées en « tontine ».
Le soir nous sommes allés chez Djouldé, une responsable de tontine, où nous avons rencontré toute sa famille.
Ensuite Mardi 13 novembre, nous sommes partis à 4 dans la Ford en direction du Burkina Faso par San, Koutiala (la capitale du coton), puis Bobodioulasso au BF. Les formalités à la frontière sont toujours longues.
Arrivée tardive à l’hôtel. Un jeune homme s’est proposé de nous piloter avec sa mobylette et nous y sommes arrivés. Pourquoi certains hôtels se cachent-ils ? Mais on y est bien et c’est calme. La végétation est beaucoup plus luxuriante. (climat tropical ?).
Mercredi 14 novembre
visite de la ville : mosquée, vieille ville, artisans.
Betty et Victor expérimentent le dolo ou bière de mil.
Dans le quartier animiste, traces de sacrifices ;
En route, une école associative : 100 enfants dans une classe minuscule.
Jeudi 15 novembre
excursions aux cascades de Banfora. Magnifique site, baignade.
En route, champ de bissap, des manguiers, champ de coton, de canne à sucre.
Aujourd’hui, nous attendons Patrick, Cali et Edmond un de leurs copains burkinabé. Mille excuses pour notre manque d’assiduité, mais nous n’avons pas toujours l’occasion d’avoir internet à notre disposition. A Mopti, je n’ai pas pu charger toutes les photos, le débit était trop lent. Nous embrassons tous ceux que nous connaissons.
Mercredi 7. Bamako :
A l’hôtel « Les colibris », rencontre avec des ivoiriens musiciens joueurs de Balafon.
Achat de tenues locales.
Depuis Bamako, le convoi a continué sa route vers Bandiagara. Première étape : Ségou, ancienne capitale de l’empire Bambara.
Un peu de tourisme et quelques achats, Marie-Pierre fait réparer sa chaussure, Victor bobine du coton
Balade sur le bord très animé du Niger
Repas à San,
on attend le 4x4 et la Ford qui ont pris la route du Burkina Faso et ont du rebrousser chemin.
Jeudi 8, dernier tronçon important : 500 km environ .
Rencontre en bord de route, admiration devant les termitières
On arrive tard dans la soirée à Bandiagara au Togona non sans difficulté : les inondations ont emporté le pont, déviation par la piste et passage à gué du ruisseau. Le bus passe sans problème, bravo le chauffeur ! le traffic et la Ford s’enlisent.
Mais il y a toujours des gens sur le côté pour vous dépanner, même dans la nuit.
Accueil toujours aussi chaleureux au Togona.
Vendredi 9, Togona
réveil avec les chants des oiseaux, on débarrasse les véhicules, puis départ en bus vers l’école de Bandiagara. Gros moment d’émotion en arrivant, encadrés par la haie d’honneur des enfants. Visite des classes, discussion avec les profs, chansons …
Au Togona, chacun se repose, ou joue.
Dans le champ à côté c’est la récolte du mil.
Samedi 10, visite d’un village Dogon.
La piste n’est pas facile, mais le bus s’en sort bien : bravo le chauffeur (Eric)… Mais en croisant un camion (mais peut-on appeler ça un camion, sans plaque d’immatriculation et un chauffeur sans permis ! ), celui-ci, pas très à l’aise, nous pètent un carreau à l’arrière avec son rétro.
Le soir repas avec les professeurs de l’école de Bandiagara au Togona. Bonne ambiance, ça discute ferme dans tous les coins.
voir l'album "Dogon" ci-contre.
Dimanche 11, départ vers Mopti.
Et re-traversée de la rivière, mais en plein jour. Ce qui n’empêche pas la Ford et le bus de s’enliser. Pour le trafic, l’aide des gamins l’a aidé à remonter, pour le bus il a fallu faire appel au bull qui travaillait à refaire la piste. Episode épique !
Visite de Mopti et son marché, balade en pinasse sur le Bani et le Niger.
Lundi 12,
le retour vers Bamako est prévu, avec escale à Ségou. Frafic + taxi.
Betty, Pier, Victor et Marie-Pierre, Cali et Patrick restent encore un peu.
Après Nouakhchott, dur, dur, encore.
Nous avons passé une bonne nuit chez Olivia. Puis après le Yassa viande du midi, nous avons repris la route …. Ce fut long, très long et chaud, très chaud !
Le bus chauffe….
Au poste à essence et au pique-nique du soir :
Nous avons roulé une bonne partie de la nuit avec seulement quelques heures de repos dehors ou dans le car en position inconfortable.
Il faut continuer malgré la fatigue, le visa mauritanien n’est valable que 3 jours et il faut passer la frontière à temps.
Protection contre le soleil et le sable :
Passage près de Tintane ville qui a été inondée, vue sur les tentes d’une association humanitaires qui a relogé les sinistrés. La route a été emportée par les eaux, elle est en train d’être réparée, mais pour nous c’est une déviation par la piste avec tous les cahots qui nous ont bien secoués :
A partir d’Ayoun El Atrous, on prend la direction du Mali, beaucoup de postes de police, de gendarmerie, de douanes et à chaque fois les fiches de polices (que Betty nous a fait remplir avant de partir heureusement !). Attente à la frontière aux différents postes, puis enfin Nioro du Sahel …. Mais la douane est fermée et nous sommes obligés de dormir dans la seule auberge disponible : bière tant attendue (pas d’alcool au Maroc et en Mauritanie !), mais nuit inconfortable et bruyante, repas qui s’est fait attendre… C’est l’Afrique !
Départ le lendemain matin et de nouveau attente aux postes de douane et de police, puis direction Bamako. La route est bonne, toute neuve. Il ne reste que 30 km de piste cahoteuse et poussiéreuse avant Digieni. Gautier s'est bien amusé à conduire le traffic !
A nous la piste et aux troupeaux la route toute neuve !!!
Bamako enfin. Arrivée tard à l’hôtel après une traversée de la ville difficile. La circulation à Bamako est épouvantable ! Ralentisseurs, mobilettes, piétons, ânes avec ou sans charrette. Existe-t-il un code de la route pour tout ce monde ?
Tout le monde se porte bien et vous salue.
Ce matin direction Ségou, à bientôt.
De Pier
Salut "les blageurs" ouf, àpres l'étape Mauritanenne de Nouakhchott à Nioro enfin une bonne biere qui fait du bien et bienvenue au Mali, formalités une nuit de repos "dans la moustiquière, la tête dans les étoiles, du bonheur" et hop, départ pour Bamako ou nous sommes arrivés hier tard dans la soirée. tout doucement mais surement le ptit bus avance, nous le ménageons , cet objet de tout les désirs, prochaine étape Ségou; l'équipe se joint à moi pour pour vous faire une bise, à bientôt. ptit message perso, tant mieux si tout est en place pour le reste "pas d'argent entre nous , tout de même.